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INVENTAIRE DU MOBILIER DE LA MAIRIE 1842

1842, changement de maire à Bracieux : Louis Garnier passe la main à Génie Lachapelle . Comme la loi l’impose, le maire sortant dresse l’inventaire des archives, des registres, des livres et du mobilier de la mairie. On y retrouve des registres disparus mais pour le mobilier, c’est une liste « à la Prévert ». L’occasion de retrouver des mots oubliés : une giberne, une buanderie de lits, un appareil inodore à pédale, un fourneau potager, un calorifère, un arrosoir de chambre, des chapeaux pour les réverbères ou pour le poêle, … et pourquoi tous ces mètres de tuyaux de poêle pour l’école  ?

UN COURRIER DE CONSTANTINE (1847)

Constantine, 26 juillet 1847 Mon cher père ... L'instituteur de Bracieux, Nicolas Trinquesse, est en émoi : des nouvelles de son fils Berthile, 27 ans, simple menuisier, parti depuis 5 ans comme conscrit à la conquête de l'Algérie avec l'armée française. Ses lettres font probablement  le tour du village ...

ENFANT A BRACIEUX DANS LES ANNEES TRENTE ...

La 2ème classe, 1943 ? Témoignage ... Les enfants écrivent à l’encre, avec un porte-plume. Les instituteurs préparent leur propre encre, à partir de bâtonnets et d’eau. Ils se font parfois aider des écoliers les plus sages ...

LE LAVOIR PUBLIC DE LA RUE DU GUE RENARD

Où l’on apprend l’existence d’un autre lavoir public que celui de la rue de Sully … En 1941, un sujet très éloigné des préoccupations de guerre, agite les Braciliens : M. Héron de Villefosse ne laisse plus personne accéder au lavoir public de la rue du Gué Renard, il en a même fait clôturer le terrain ! C’est depuis 1939 au moins qu’il réclame de pouvoir disposer de la totalité de son jardin, jusqu’à la Bonne Eure alors qu'un lavoir communal est installé là, mais depuis quand ?

LE PERE CONSTANT, par H. Fillay

Hubert Fillay écrit à Raymond Jardel, le 10 septembre 1943, «  son cher Maire et ami  » « Voulez-vous être assez aimable pour demander à Madame Jardel et à Mademoiselle Marguerite Chesneau si elles se rappellent le nom de famille du charcutier ...

RAYMOND PHELIPEAUX

Signature de L.Phélypeaux en 1712 On a vu que Raymond Phelypeaux a légué par testament une rente annuelle de 400 livres tournois pour l’entretien d’un prêtre, en charge de l’école à Bracieux. Mais qui était ce  Raymond PHELYPEAUX ?

SOCIETES DE MUSIQUE

vers 1905 ? Déjà en 1850, le conseil municipal " prenant en compte le zèle des musiciens de la Garde Nationale, les sacrifices qu’ils ont fait pour s’instruire, les succès qu’ils ont obtenus dans la musique "… vote à l’unanimité la somme de 60 francs pour l’acquisition d’une grosse caisse, de cymbales, etc." Ensuite les musiciens locaux se sont organisés eux-mêmes en Société de musique avec la constitution de   l’Union musicale, de la Lyre musicale, de l'Ecole musicale de Bracieux, puis de l’Amicale de Bracieux , …