Les propriétaires qui emploient les machines à battre pour
nettoyer leurs grains, ne sauraient user de trop de prudence pour éviter tous
accidents.
Les propriétaires qui emploient les machines à battre pour
nettoyer leurs grains, ne sauraient user de trop de prudence pour éviter tous
accidents.
Jeudi soir, écrit-on de Bracieux, un individu occupé à faire marcher
une de ces machines mue par deux chevaux, s’étant approché trop près, a été
saisi par ses vêtements, qui ont été littéralement mis en lambeaux.
Heureusement pour lui, on put arrêter la machine assez à temps pour qu’il ne
fût pas entraîné lui-même. Il en est quitte pour une large blessure dans les
reins, et la perte de ses habits.
21/9/1863 Journal du Loiret
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